À propos de

Je m’appelle Guillaume Barman, j’ai 38 ans, je suis célibataire, j'ai deux enfants de 6 et 9 ans, trois chats, deux lapins, des tortues, des grnouilles et parfois... quelques hérissons. 

J'ai toujours été très proche de la nature, aussi bien des plantes que des animaux.
Etant très sensible à la défense animale et ayant du temps à disposition, j’ai voulu profiter de celui-ci pour aider les hérissons. Car déjà tout petit j'ai eu la chance de pouvoir en observer autour de chez mes parents. Mais depuis des années, je remarque une grande diminution du nombre de hérissons. Et c'est même un fait reconnu par la confédération.

J’ai d’abord construit plusieurs maisonnettes pour qu’ils puissent s’y abriter. Etant de nature très penché sur les dernières technologies, j’y ai ajouté des caméras à l’intérieur afin de suivre les visites. J’ai commencé à y prendre plaisir à voir ces petites bêtes. Et mes followers sur les réseaux sociaux aussi ;-) 
Par la suite, désirant en faire plus, j’ai décidé de prendre contact avec une association afin de faire famille d’accueil. Mais ne pouvant pas en faire plus au vu de la législation, j’initie donc cette démarche, c’est-à-dire, créer un refuge où je pourrais administrer des soins supplémentaires, tels qu’injections d’antibiotiques, d'antidouleur ou tout autres médicaments par injection.

Etant de nature très maniaque et par ma formation professionnelle dans le milieu pharmaceutique (connaissance des normes GMP, désinfection, etc…), je porte une attention particulière au nettoyage des cages (désinfection), au nettoyage des gamelles quotidiennes et au port de gant. Je porte une attention particulière à éviter tout contact entre les hérissons afin d’éviter tout transfert de maladie.

J’évite aussi au maximum que le hérisson s’acclimate trop à l’homme afin qu’il garde son côté sauvage lui permettant ainsi de vivre normalement après libération. Grâce aux caméras installées, cela m’a permis plus d’une fois de découvrir des symptômes tels qu’une toux et ainsi transmettre ces informations à l’association et au vétérinaire pour un soin adapté.
Je tiens à jour aussi un fichier où je prend note des toutes les informations nécessaires tels que le nom de la personne ayant trouvé le hérisson, le lieu de découverte, son poids d’arrivée, pesée quotidienne, symptômes, graphique d’évolution du poids, etc,… ​Voilà en quelques mots l'histoire entre les hérissons et moi.​Mais pourquoi le refuge se nomme-t-il ainsi ? Afin de mélanger la culture du Japon avec celle du hérisson, le suffixe « San » a été ajouté. La traduction la plus simple serait "monsieur" ou "madame" (c'est donc un suffixe unisexe). "-San" est à utiliser avec quelqu'un que l'on respecte et avec qui on n'est pas spécialement proche.  C'est en quelque sorte le suffixe honorifique par défaut, qui laisse peu de chance à l'erreur. C’est pourquoi il s’accompagne parfaitement avec cet animal.Si vous souhaitez suivre de plus près mon projet, vous pouvez me suivre sur les réseaux sociaux tels que Facebook ou Instagram en recherchant « Héris-San ». ​N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions, des remarques ou tout simplement me dire bonjour! :-)
A bientôt
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